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Audrey-Sophie Nacass

Chronique Ciné - Le Burlesque -

 

Texte +Sonores

Genre: Chronique

 

Chronique Ciné - La Comédie Française -

 

Genre: Chronique

'La Comédie française'

Sonore: musiques de film "Rabbi Jacob"

 

Chronique Ciné - Le Western américain -

 

Texte + Sonores

Genre: Chronique

 

Bartolk Moldesh - Un pastiche de "Sherlock Holmes"

 

 

Bartolk Moldesh

 

 

Dans

 

 

 Je fus, je suis, je serai,

 

 

Et le Tableau Adulé

 

 

 

 

 

I

 

 

 

 

 

 

 

- « Bonjour Monsieur Moldesh. Je me présente…Sir Schmilton . Vous pouvez également m’appelez Schmilton. »

 

 

C’était un grand homme, le teint halé, le museau rond. Ses petits yeux fripons sous un air innocent, le rendit très vite sympathique.

 

 

- « Je suis envoyé par la comtesse de Landerville. Elle m’a chargé de vous remettre en main propre une œuvre pour qui, dit-elle, votre émerveillement est sans fin. Ce tableau, Monsieur, sous le nom de Jules César, qu’elle vous a vu admirer à plusieurs reprise en son domicile, vous est aujourd’hui offert par la comtesse. Elle voue une profonde admiration à votre flair de fin détective, et tient, par ce présent à vous remercier mille fois pour votre aide, dans la si délicate affaire des faux bijoux. Tenez ! il est à vous ; prenez! »

 

 

Carlston, les yeux écarquillés face à un présent si précieux, tendit machinalement ses maigres mains osseuses et marquées afin de s’emparer du tableau destiné à son maître, Bartolk Moldesh. 

 

 

- « Carlston ! Pas touche ! vous êtes un Imbécile! …essuyez moi cette salive dégoulinante de votre truffe. Ce tableau n’est pas pour vous… mais pour moi !»

 

 

Et ce disant, Barltok Moldesh pris le tableau et l’accueillit dans ses mains, aussi délicatement que l’on y accueillerait un nouveau né. Sir Schmilton, quant à lui, homme toujours pressé et attendu ailleurs, disparu aussi vite qu’il était apparu. Barltok Moldesh plaça  l’œuvre d’art dans un coin de ses appartements. Il revint ensuite vers Carlston et aspira avec un petit bruit humide, le tuyau de sa pipe, qu’il avait lui même fabriquée.

 

 

- « Mon cher Maître, vous me comblez », dit le maigrelet Carlston en joignant ses petites mains moites.

 

 

Moldesh leva son sourcil droit d’environ un centimètre; sa paupière suivit et une étincelle d’acier jaillit de sa prunelle.

 

 

- « Vous dites? »

 

 

- « Je dis, ô vénéré Moldesh, qu’en me traitant d’imbécile, vous m’avez fait une Faveur qui me touche dans les fibres les plus profondes de mon âme… »

 

 

- « Expliquez-vous mon cher Carlston, car mon intelligence supérieure ne peut, sans risque de souillure, s’abaisser jusqu’à votre misérable personne… »

 

 

Le petit docteur bien maigre joignit une fois encore les mains, et émut, articula:

 

 

- « Ben oui, Moldesh, tout le monde sait que vous ne pensez qu’à vous et rien qu’à vous; donc, en me traitant d’imbécile un court instant, j’ai eu le privilège d’avoir une place - ô si petite- dans votre tête au génie démesuré! »

 

 

Moldesh rougit.

 

 

- « Mon brave Carlston, il ne faut pas dire cela… vous savez, dans le fond, vous n’êtes pas aussi idiot que vous le paraissez. Nous avons quand -même résolu pas mal d’affaires ensemble; et je dois- bien avouer que sans votre, même très minime intelligence, je n’aurais pu aller aussi loin dans certaines de mes enquêtes, n’est-ce pas mon ami? Donc, voyez, vous n’êtes pas si stupide, et je ne veux plus que vous le soyez d’ailleurs.

 

 

Alors, Carlston, n’y tenant plus lui aussi, se mit à genoux et s’écria, tout en agrippant et secouant avec vigueur la jambe de son maître,

 

 

- « Ö Monsieur Moldesh! Monsieur Moldesh! Vous êtes un saint … »

 

 

Moldesh s’empourpra et vacilla sous le choc des secousses. Mais heureux, de faire plaisir, Carlston ajouta, toujours avec autant de véhémence,

 

 

- « Vous êtes un Dieu Monsieur Moldesh ! un Dieu !! »

 

 

Et son regard graisseux suivit, étonné, le corps du divin détective qui s’écrasait lourdement sur les meubles et bibelots anciens.

 

 

 

    Peu de temps après, remis de ses émotions, le grand Moldesh, sirotant un thé vert préparé de ses mains blanches et soignés, contemplait l’œuvre d’art qu’on lui avait apporté. Il était dans son bureau. Non loin de là, Carlston regardait par la fenêtre. Moldesh prit un petit clou, l’installa minutieusement sur un mur, à sa droite, face à la petite fenêtre poussiéreuse et y déposa avec tendresse le portrait de César . Il alla ensuite chercher un petit fauteuil; et en silence, s’assit et ….le contempla. Dévorant la merveille, ces mots lui vinrent soudainement:

 

 

- « Je fus, je suis et je serais…»

 

 

Ces mots sortirent, sans que lui-même s’en rende compte. Son ton était étrange…c’est comme si Bartltok Moldesh  venait d’entrer en transe. Car face à lui en effet, se tenait Le portrait du noble Jules César. Un personnage pour lequel, depuis des années, Moldesh s’identifiait.

 

 

Comme César, Bartolk voulait faire parler de lui, avoir un certain pouvoir sur le monde…être détective, le lui permettait; mais il voulait aussi être, au delà du temps, un homme respecté, craint,… adulé… « je suis, je fus et je resterais » répétait-il.

 

 

Carlston, à la fenêtre, s’amusait à regarder les passants: cela le distrayait de voir marcher les gens, pendant que Monsieur Moldesh rêvassait. C’est si bon de rêver…Soudain la voix suave et modulée de son maître mais non moins ami le tira de sa torpeur.

 

 

- « N’avez-vous pas honte à votre âge de reluquer le cul des jeunes femmes blondes qui ont le malheur de traverser votre champ visuel? »

 

 

Carlston se retourna brusquement, ahuri, devant ce doux et amical reproche. Il vit Moldesh, dos tourné, toujours à contempler son miroir.

 

 

- « Mais comment le savez-vous! Comment avez vous devinez que c’était une jeune femme blonde !C’est incroyable…vous n’avez pas bougé de votre fauteuil!…vous êtes… »

 

 

- « Génial! Tout simplement génial, oui ».

 

 

Et Moldesh laissa couler un rire mondain et clair, comme des perles de culture puis ajouta à mi-voix, les paupières basses, le regard rond, hypnotisé par le magnifique portrait, les cheveux hirsutes, la bouche en biais, « César me donne sa force.. Je le sent…Je Suis, mon cher Carlston, je Suis... »

 

 

- « Par le ciel, expliquez-vous Moldesh, expliquez-vous! »

 

 

Reprenant alors ses esprits, le surhomme avala sa salive et daigna s’expliquer.

 

 

- « Du coin de mon œil perçant, dont la vison s’étend à plus de 180°, j’observais votre manège. Je vis, votre tête parcourir lentement un trajet précis, de droite à gauche. Vous étiez entrain d’achever votre panoramique quand je vous entendis soupirer.

 

 

Le son était lointain, car voilé, étouffé, mais la trace de buée, encore présente sur le côté gauche de la fenêtre certifie bien la présence d’un long soupir ».

 

 

- « Formidable! Oui! …mais la dame blonde? »

 

 

- «Élémentaire mon cher Carltson: A un moment, vous levâtes les yeux au ciel en poussant ce gros soupir révélateur…vous n’aviez pas soupiré pour madame

 

 

Mac Intoch de cette façon…elle est bien trop laide, bien trop vieille et bien trop grosse… J’en ai conclu qu’il s’agissait d’une femme relativement jeune: 30 ans environ, et de surcroît fort jolie…voilà! »

 

 

- « Mais les cheveux Moldesh, les cheveux…! »

 

 

- « Enfantin. Connaissant votre aversion pour les rousses, trop timides et les brunes, trop carriéristes, je me suis dit: cette jeune femme là est blonde où je ne m’appelle plus Moldesh! En fait, la dame était blonde. Me trompe-je mon cher Carlston. »

 

 

Et serein il se remit à juger l’œuvre pour laquelle il aurait tout donné. Alors Carlston, dans une attitude contemplative, plein d’une admiration mal contenue, laissa tomber ses mots,

 

 

- « Seigneur, que cette homme est Fort et… »

 

 

Il n’acheva pas; un bruit sourd claqua à ses oreilles…Le vieux fauteuil de Barltok Moldesh venait de céder sous le poids de temps d’ambition, d’amour-propre et de mégalomanie.  Moldesh , le fessier au sol et l’ai ahuri débita alors tout un tas de juron à l’encontre du vieux fauteuil déglingué. Carlston quant à lui, plein de tendresse, subitement pensa:

 

 

- « Il faudra remplacer les meubles et les bibelots anciens...»

 

 

  

 

 

 II

 

 

  

 

 

    Bartolk Moldesh, contemplait le vague. A l’heure actuelle, il était le plus grand détective de toute l’Angleterre; et il le savait. Seul point noir à l’horizon, un homme, un Concurrent, Larsène Pulin; un gentleman, détective à ses heures, cambrioleur aussi, mais, c’était uniquement pour le bien des pauvres…

 

 

Larsène et lui se connaissait bien. Plusieurs fois déjà ils avaient travaillé sur des enquêtes identiques, l’un essayant de doubler l’autre aussi bien que possible. Mais jusque là, Moldesh s’en était pas mal tiré.

 

 

C’était le mois de juin. Ce matin là, il faisait une chaleur épouvantable, pour ne pas dire insupportable. Dans le salon à air conditionné, Bartolk Moldesh réfléchissait profondément. Douillettement installé, dans un rocking-chair, les jambes sur un pouf à plume de couleur rose, il songeait amèrement à Larsène Pulin et le maudissait.

 

 

Pour Barltok Moldesh pas de toute ! Larsène Pulin voulait défiait César… bafouer son honneur…Et Moldesh ne pouvait supporter qu’un homme, qui plus est un bandit, soit plus fort que lui. Bon dieu, sa fierté en prenait un sacré coup ! Soudain une voix lointaine de contrebasse brisa le silence, et comme un bruit de vaisselle cassée, laissa tomber ces mots:

 

 

- « Il faut que je le vois Madame! Laissez moi passer! j’ai ici une chose personnelle à régler avec lui, et sur le champ! »

 

 

- « Oui, je l’entends bien, mais Monsieur n’est pas disposé à vous voir actuellement. Monsieur a passé une rude nuit… c’est pourquoi monsieur se repose en ce moment même. Comprenez-vous ? Et puis, je ne pense pas que Monsieur soit désireux de vous rencontrer sachant le peu de sympathie qu’il a, à l’encontre de votre personne - Et Toc! »

 

 

- « Oh et merde! Laissez moi passer à la fin espèce de quinquagénaire édentée ! Je suis le Grand, l’Immense Larsène Pulin!  - Pulinnn…Pulinn…Pulin - »

 

 

Cela fit comme un écho fracassant. Les cheveux de Moldesh se dressèrent. Le visage blâme, les cheveux et poils hérissés, la bouche hargneuse et les crocs armés, il se leva à la vitesse de la lumière. Barltok Moldesh arpenta alors prudemment les murs tapissés, à la rencontre de son Ennemi Juré. Là, dédaigneux, il lança fièrement, comme pour le saluer :

 

 

- « Larsène Pulin… »

 

 

- « Bartolk Moldesh… », rétorqua « Pulin… » comme pour défier à son tour le Moldesh insolent.

 

 

Les détectives étaient maintenant face à face. Deux tigres dans l’arène, le comportement arrogant, plus rien n’aurait pu empêcher l’inévitable…si ce n’est…

 

 

- « Moldesh, Molesh…! , brailla Carlston suffoquant de terreur. Le…le…tata…le tata…le ta…bleau, il ..il…il a… disparut! »

 

 

- « Quoi! Comment ça disparu? Expliquez-vous mon…mon cher Carlston…! », bégaya à son tour le grand détective.

 

 

Les trois hommes se précipitèrent dans la pièce en question. Les murs du bureau était d’un vide effroyable.

 

 

- « Mon …mon César…mon Beau et Puissant Jules César, il a disparu!…pas une trace d’effraction pourtant! La fenêtre est bien fermée, la pièce est purement intacte…mais qu’a t-il bien pu se passer pour que…? Où est mon César! Qu’on me rende mon César! »

 

 

Tels étaient les mots du célèbre détective Bartolk Moldesh, hurlant, brayant, pleurnichant, et qui, en un instant, venait d’être réduit à néant.

 

 

La mine de Moldesh avait soudain laissé place a une palette variées. Son teint passa par toutes les couleurs.

 

 

On entendait Pulin qui riait aux éclats. Sa véritable joie, étant d’avoir pu assister à une scène si palpitante ou le plus célèbre détective de toute l‘Angleterre s’était fait prendre à son propre jeu.

 

 

« AhahahahAHAHAH ! HihiHIHIIHI !AhahahahahAH !Le détective pique, juge, arrête… et le coquin se venge. Je jubile ! Tel était pris qui croyait prendre… » exulta Pulin avec euphorie et la mine jouissante.

 

 

- « Mon cher Pulin, vous serez toujours aussi imprudent et grossier par dessus le marché ! », lança Moldesh dont les oreilles sifflaient maintenant comme une cocote-minute. Amer et mondain, Barltok Moldesh ajouta en anglais,

 

 

- « Bastard…! I loathe you… !»

 

 

Il accompagna ses paroles injurieuses d’un pâle sourire narquois. Et avec sa langue, il fit un petit bruit malsonnant qui pourrait se traduire par le son « Clo »

 

 

- Soudain ce fut un jaillissement de sentiments -

 

 

Le plus grand détective de tous les temps commença alors à s’emporter avec fougue. Il gesticula de toute part, dans avec une virile énergie ressemblant de près à la danse d’un chimpanzé. Puis foudroyant Larsène Pulin d’un regard malfaisant, lui dit,

 

 

- « Si vous ne voulez pas que je vous casse ma canne sur le crâne, je vous conseille de vous taire et de partir…à moins que ce ne soit vous qui êtes le coupable dans l‘affaire… !AH on rit moins tout d’un coup ; pas vrai …Pulin !»

 

 

- « Moi? Coupable, fit Pulin. Comme si un portrait de César pouvait m’intéresser! »

 

 

- « Mais,… je ne vous ai jamais dis que ce tableau était un portrait de César, Larsène …Etrange, bel et bien étrange… l’énigme se resserre sur vous mon bon Larsène ! »

 

 

Et, dans un ring sans fin entre les deux homme fielleux, on entendit soudain Carlston, les jambes flageolantes, qui claquait depuis un quart d’heure déjà, ses vilaines petites dents. Moldesh leva, comme à son habitude, son sourcil droit d’un bon centimètre environ. Sa paupière suivit et il jaillit de sa prunelle un air décontenancé.

 

 

- « Mais qu’avez-vous donc mon cher Carlston?…Secouez-vous, non de Dieu! Ne restez pas planter là sans rien dire!…Mais vous êtes tout blanc dîtes ! Vous ressemblez à un cachet d’aspirine ! »

 

 

- « Ö vénéré Moldesh! J’ai commis un acte monstrueux, et ça, au nom de l’amour propre . Ce …ce …ce n’est pas Mr Pulin le coupable, - ô non - Il est bien trop clairvoyant. Vous m’avez tant de fois parler de César, ses mille et une conquête, ses mille et une victoires... Tant vous l’aduliez, vous êtes devenu un homme à sa parfaite image. Je me suis bêtement dit que s’il avait pu si bien vous forger -si ténue soit votre intelligence naturelle- alors, sur un pauvre homme comme moi, César pourrait faire bien des merveilles… De peur que vous soyez contre cette idée, j’ai dû attendre que vous vous endormiez pour pouvoir déplacer le tableau dans mes appartements.

 

 

Mais j’ai perdu le tableau ! En fait, pour être exact, techniquement, je ne l’ai pas perdu…je dirais plus qu’on me l’a dépouillé, oui…et en fin de compte…c’est moi qui me suis retrouvé volé… »

 

 

Ébahi par la Stupidité Totale qui émanait de son fidèle bras droit de toujours, Moldesh ne pouvait plus parler. Le rire de Pulin, lui, éclata plus fort encore que la première fois. C’est ainsi que des larmes d’hilarité lui coulèrent, tant la situation lui parut rocambolesque:

 

 

- « Un voleur volé ! AhahahaAHAHAH ! là j’en peux plus ! je sens plus ma mâchoire ahahaAHAHA !… Quelques minutes passées, il regagna alors la sortie dans un rire convulsif, sans même expliquer à Moldesh le but de sa venue.

 

 

 

 

    Le notoire Moldesh n’avait pas dit son dernier mot…

 

 

- « Quoi, de la rébellion Carltson?! Vous me décevez! Je croyais pouvoir vous faire confiance et je vois que vous me trahissez… Vraiment, mon génie notoire est bien mal secondé! Vous faites ça à moi, un Anglais…Non, alors là, permettez moi de vous dire poliment , … vous déconnez ! … »

 

 

Alors Carltson se mit à genoux, et pleurant:

 

 

- « Je me repends. Seigneur, mon égoïsme m’a égaré; je mérite vos reproches si cléments…Pardon! Pardon! »

 

 

- « Bon, écoutez mon cher Carltson, au fond ce n’est pas de votre faute. Oui, vous vouliez seulement me ressembler, devenir aussi bon détective que moi, n’est-ce pas ? Donc pour cette fois, ça va, la punition sera légère: 72 heures dans le placard à balai, sans eau, sans pain, sans air! Compris?… »

 

 

- « Oh oui Moldesh! Et je tâcherai de tenir le coup pour vous faire honneur. »

 

 

Un sourire serein apparut sur les lèvres charnues et malpropres du pauvre Carlston. Il ajouta en baissant la tête,

 

 

- « Mais c’est bien pour vous faire plaisir,…chef! »

 

 

Carltson, puni dans le placard à balai, Moldesh commença son enquête.

 

 

Qui pouvait bien se cacher derrière ce vol de tableau? Qui, comme Moldesh, voulait posséder le portrait de Jules César? Et surtout pour quelle raison?

 

 

Le légendaire Bartolk Moldesh mis alors à profit ses restes de talents de détective…

La suite en cours d'écriture....

 

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